ouaip… En même temps, la francophonie est une notion et une politique que j'abhore. Tout comme l'exception culturelle et tout ce qui s'y rapporte.
Il faut dire, les trois-quart de ma famille viennent de Bretagne, et le français n'était pas leur langue natale, mais le Breton (un des langages celtiques d'europe, avec le gaelique, le gallois, le cornique, l'écossais). Ils ont vécu sous la politique de ségrégation anti-breton de l'église catholique comme de l'état français.
Alors, franchement, le destin du français en tant que langue, ne m'intéresse pas vraiment au plus haut point.
De toute façon, peu de francophones sont capables de comprendre le français du XVIIème, un peu plus celui du XVIII (quant à l'écrire et à le parler - cette sophistication est inaccessible au plus grand nombre). Les langes évoluent et dans 2 ou 3 siècles, le français ne ressemblera plus vraiment à la langue actuelle.